1 Samuel 1, v.11
Elle fit le vœu suivant : « Éternel, maître de l’univers, si tu consens à regarder la détresse de ta servante, si tu te souviens de moi, si tu n’oublies pas ta servante et lui donnes un fils, je le consacrerai à l’Éternel pour toute la durée de sa vie et le rasoir ne passera pas sur sa tête. »
[…] Nos enfants sont la prunelle de nos yeux ? Rien sur la terre n’est plus cher à nos yeux que nos enfants ? Alors à l’exemple d’Anne, consacrons les aux Seigneur ! Enseignons leur qui est notre Dieu, sa puissance, son amour, ses œuvres et ses promesses merveilleuses.
Pensons à l’éducation de nos enfants dans le but de les consacrer au Seigneur !! Dans ce monde corrompu de mille manières, il n’y a pas de meilleur cadeau pour nos enfants que d’œuvrer pour les encourager à se consacrer au Seigneur dès leur plus jeune âge. Il n’y a pas de meilleure perspective pour eux que d’être avec le Seigneur tout au long de leur vie, et en commençant le plus tôt possible. Le royaume de Dieu est le meilleur héritage que nous pouvons laisser à nos enfants.
Pendant les toutes premières années de sa vie, Samuel a été préparé à se consacrer au service de Dieu, et par la suite, il a été confié au service du sacrificateur Eli dans le temple. A l’âge adulte, il est devenu une extraordinaire serviteur de Dieu malgré un contexte pervers et rebelle au Seigneur dans le pays.
Samuel a été confronté à la perversion très tôt dans sa vie, notamment dans sa vie au Temple où il assistait quotidiennement aux péchés très graves commis par les fils du Sacrificateur Eli, qui officiaient en tant que prêtres dans le temple.
Mais lui, il n’a pas cédé à la tentation de les imiter et de se compromettre, Sa foi avait de très bons fondements, donnés dès le plus jeune âge par ses parents, et plus particulièrement par sa mère.
On a aussi dans ce passage, l’exemple opposé des fils du Sacrificateur Eli, qui n’a pas rempli pleinement son rôle éducatif vis-à-vis de ses enfants, malgré son statut privilégié de grand sacrificateur de Dieu. Les conséquences pour ses enfants et pour lui sont dramatiques. […]
